PARTI DES FOURMIS
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PROGRAMME DE L’OPPOSITION

POUR UN ETAT ELECTRIQUE

20 mai 2013. 41ème édition de la «Révolution pacifique» d’Ahmadou Ahidjo (1972)1.
Défilé républicain, comme à l’accoutumée, au Boulevard éponyme de la Cité – capitale, présidé en personne par le chef de l’Etat en poste, SE Paul BIYA.
Zénith acéré de coutume. Apothéose institutionnel, en cet instant de gésine : le ‘moment le plus fort’ de l’Etat du Cameroun.
Astiquées des semaines auparavant, les tribunes de planches, devenues définitives il y a belle lurette, hautement sécurisée et aussi bondées de beau monde endimanché : le gratin politico-administratif; militaro-diplomatique; panoplie d’invités d’honneur; personnalités diverses, en cette arène focale.
Et la marée d’élèves; d’étudiants; de militant(e)s des partis, des commerçants, des badauds, rassemblés dans le cadre de cérémonie médiatisée, à l’échelle optimale, pour la République en fête...
Par devoir élémentaire de vigilance citoyenne, essayons à l’instant de vérifier froidement ce qui se passe exactement avec les emblèmes de l’Etat du Cameroun, célébrés par-dessus tout en ce moment exclusif:
1. Avec l’Hymne national. Véritable «prière», logée à sa juste place de rituel d’ouverture. Paroles et musique, datés de 1928, composition inspirée des élèves de l’école normale presbytérienne Camille Chazeaud de Foulassi. Mélodie consacrée, qui fait vibrer tant de cœurs! Exécutée, de main de maître, par l’une des fanfares, en tenue d’apparat, jouissant du privilège de saluer, magistralement et instantanément, l’arrivée solennelle en ces lieux du chef de l’Etat.
2. Avec le Drapeau, vert-rouge-jaune frappé d’étoile jaune au rouge. Sa levée, concomitante. Omniprésence, à juste titre, desdits pavillons, jusqu’aux fumées émises par des hélicoptères de l’espace en ce ciel aussi ensoleillé...
3. Avec la Devise, Paix-Travail-Patrie. Seul élément dilué, aussi peu valorisé. Quasi-absent des… pancartes! Spectaculairement oublié des éminentes banderoles! Pis encore, expressément parasité – amalgamé, confondu! Mais alors, quel massacre politique, formellement perçu lorsque défile enfin le parti au pouvoir : les dizaines de carrés des militant(e)s dudit RDPC qui, sans vergogne, affiche aussi effrontément, sa plus que large… dissonance : «Unité-Progrès-Démocratie». Gigantesque banderole, comme une insulte solennelle au tout dernier cité des emblèmes de l’Etat! Ouais!! Quelle grossière discordance! Usurpation inexpliquée de cet espace qu’aurait logiquement dû occuper le… «Paix-Travail-Patrie» de cet Etat en fête.
Forfaiture (étourdie et fourbie) – la fourberie d’Etoudi, passez-nous la cynique poésie, aussi écœurante qu’assommante...
Les tam-tams folkloriques des caravanes électorales s’étant, en date, bel et bien estompés, nous ne saurions manquer de revenir sur un tel entêtement du RDPC! Aussi incompréhensible qu’interloquant! D’indexer son dramatique… orgueil désespéré, sévissant, depuis des décennies, pervertissant carrément le Destin de tout un peuple!
Mais alors, quelle dureté d’oreille, cher Fame Ndongo! Et quels esprits incorrigibles!
Pourquoi ce manque d’humilité, une telle absence de souplesse intellectuelle, manifeste par ce refus d’assimiler la vérité pointue des pertinentes remarques, écrites et publiées, objectives et polies, ayant, depuis des lustres, plus que pointé du doigt les conséquences désastreuses, en matière de gestion républicaine, de la persistante (et si) ‘mauvaise utilisation des symboles et attributs de la souveraineté nationale’. Tenez!
1. «Unité-Progrès-Démocratie»; 2. «Immeuble rose»; 3. «Palais de l’Unité», trois «perles» de nuisances approfondies, caractéristiques perverses du Renouveau national. Ayant pignon sur rue depuis trois (3) regrettables décennies, pour un si gros gâchis! A contre-pied des symboles précités, consacrés, de l’Etat du Cameroun. Leur malfaisance, aussi sournoise, plus grave que réelle!
Leur action, en profondeur cynique et littérale, parfaite et tranquille! Naïveté intellectuelle? Pour sûr!
Véritable catastrophe qui n’émeut, ni ne révolte personne en ce pouvoir, pour enfin oser vouloir les… extirper de la ville!
La campagne électorale, une fois de plus, vient de donner l’occasion à «Unité-Progrès-Démocratie» - et à bien d’autres «trilogies» obliques (du Sdf, du Mrc, de l’Udc, etc.) - de battre, une fois de trop, le pavé public. Alors même qu’à la tête de certaines desdites formations politiques sont postés des éminents juristes et des respectables sociologues qui, malheureusement, ne soupèsent que très peu les conséquences funestes de cette insidieuse, persistante et aussi malencontreuse «guerre des génériques» politiques. Tous, à l’assaut du plus mythique, du plus précieux : de «Paix-Travail-Patrie»! Apparus à l’en-tête de leurs si nombreuses affiches et professions de foi saisonnières! Gravés sur autant de supports physiques et/ou audio-visuels!
Messages circonstanciels, insérés dans autant de journaux et périodiques à tirage respecté.
Revenons, sous ce registre, sur le «propos spécial» de M. Jean Nkuete, secrétaire général nommé, (provisoirement) en poste au Comité central du RDPC. Son ton, remarquablement solennel, à l’attention des «électrices, électeurs et [à ses] chers compatriotes». (Mon œil!).
Pour le Sg des flammes, «la paix, la liberté, la démocratie et la concorde sociale sont les principaux facteurs grâce auxquels les élections ont lieu au Cameroun».
«Evangile» de référence, plus que connu : c’est grâce au RDPC qu’il y aurait la paix, la liberté, la démocratie, la concorde sociale, de tout cela au Cameroun. Hihihi!
Allusion nulle part, en ce discours, à… l’Unité! Premier facteur cependant de leur devise (avec petit p) aussi malfaisante qui, depuis des décennies, fait aussi mauvais ombrage à «Paix-Travail-Patrie»! Calée en entête bilingue, aux deux angles, droit et gauche, de cette insertion.
Le Sg qui, dans son laïus, n’hésite cependant pas à… squatter, sans coup férir, dans la Devise de l’Etat (1957)! Pour y récupérer la… paix. (Mais quelle grave escroquerie, M. Nkuete)?
Comment seriez-vous artisan, Monsieur le Sg, de cette paix qui, entre-nous, n’est résolument (et manifestement) pas votre référence suprême ni votre boussole déclarée, tant et si bien qu’elle ne figure guère en votre «devise» précitée?
Vous voici, Monsieur le Sg, pris la main dans le sac! (De quoi crier «ô voleur!»)…
C’eût été fort honnête, cher Sg, de saisir l’aussi grave occasion de la récente campagne, pour enfin édifier vos chers compatriotes, avides d’en savoir plus, au sujet de la connexion formellement établie entre l’Unité, le progrès et la démocratie : votre prestigieux «programme» – l’ancien? Sans doute! Le prochain? Sûrement! Après les «rigueur et moralisation »; «libéralisme communautaire»; «grandes ambitions»; «grandes réalisations»! Bientôt et enfin, les… «grands résultats», en 2035! Ouf!
En attendant, de votre part, une telle démonstration, méthodique et convaincante, rappelez-vous tranquillement qu’en 1957, des patriotes camerounais, hautement inspirés, réalisait l’utile et durable prouesse de mettre côte à côte, un environnement, l’actuel en vigueur, aussi idoine qu’exclusif et plus que sine qua non : la Paix – plus exactement, l’intrépide «Pax camerounensis». Pour l’accomplissement de la mission unique de l’Homme sur la Terre : le Travail. Dans l’espace géographique le plus cohérent, extensible à souhait : la Patrie.
Facile à deviner, notre précieuse Devise : «Paix-Travail-Patrie», que vous piétinez à l’instant, bêtement et aussi durablement! Du plus puissant fondement : le matériau conceptuel le plus solide et le plus sérieux, à notre sens, en matière de construction de tout Etat – nation, et ce, sous tous les horizons.
En résonance futuriste avec les missions régaliennes de paix des Nations unies…
Vous voici exactement, cher Sg, en flagrant délit de gestion cahoteuse du présent Etat des Camerounais d’hier, d’aujourd’hui, de demain : bel et bien régi, depuis 1957, par «Paix-Travail-Patrie». Malheureusement gouverné, depuis plus de 30 ans, sous le prisme incongru, oblique (et partisan), du palais2 de l’«Unité-Progrès-Démocratie». Véritable mangeoire, appendice de l’hédonisme, culte des biens matériels, où chacun pense beaucoup plus au «progrès» de sa panse – acquisition (éperviable) des trois «v» (villas, voitures, virements) – sous vernis étalé de la «démocratie».
2Futur «palais du Travail», quand nous serons au pouvoir.
Démocratie. Revenons quelque peu sur ce que Platon en pensait, qu’il vous a plu, par-ci, de… camerouniser! Par la mise en souffrance indéfinie de ce Camaroes : rivière de tant de crevettes (à dévorer, de préférence!).
Imaginez seulement, cher Sg, que le jour arrive bientôt où ce pays sera enfin autre chose que le… Cameroun – la mauvaise «prophétie» formulée, vous vous rappelez, en pleines villes mortes à Douala, enfin conjurée.
Qu’il devienne effectivement le «pays des Hommes et des Femmes équilibrés», doués de la raison...
Vous percevez, à ce niveau, Monsieur le Sg, la Perspective heureuse qui s’annonce, imperturbablement.
Aussi, ne vous reste-t-il plus qu’à sauver bravement votre honneur – si du reste vous en auriez – en prenant, d’ici quelques jours, votre courage à deux (2) mains, par le meilleur usage de votre grand (et tout puissant) paquet d’honorables Députés. En songeant sérieusement, dès la prochaine législature, à interdire formellement à tous les partis politiques – à commencer par le vôtre – par une loi appropriée à voter incessamment :
     1. Proscrire à tous les partis politiques l’utilisation de toutes ces «trilogies» déviantes, naïvement introduites dans le champ politique local!
     2. Procéder, par la suite, à la destruction systématique de tous les supports physiques – pagnes, écharpes, casquettes, etc. – du grossier «Unité-Progrès-Démocratie», de même que de toutes les autres «trilogies» dissonantes, encore dans les vestiaires, mais qui n’en déroutent pas moins déjà inutilement, littéralement et aussi sournoisement, les esprits de tout un peuple, lorsqu’il convient au contraire de les focaliser à… «Paix-Travail-Patrie».
Notion d’Etat électrique
Question de faire converger, obligatoirement, les antagonismes éventuels de tant de supposés «programmes».
En validant, cependant et toutefois, autant que faire se peut, la dose de bonne foi de toutes ces réflexions menées, vers une Action univoque, présente et/ou à venir, de l’Etat électrique de nos vœux les plus ardents, conciliant l’efficacité et l’effacement (cf. Songloulou) à sa légitimité. Synchronisant son autorité à la liberté renforcée de ses individus – hommes, femmes et enfants.
Etat transparent, pour tout résumer, à l’instar de l’eau potable, érigé et maintenu à l’écart de toute odeur; de toute saveur et de toute couleur partisanes!
Que voilà la vision des fourmis politiques. Spécialement rédigée pour vous, Monsieur le Sg, qui réclamez tant des programmes.
Revenons enfin, si vous voulez, à l’Hymne national. Le courant aujoulatiste, le cas de vous féliciter, a bel et bien eu l’humilité historique, pourquoi pas, la main heureuse ce 10 mai 1957, en validant fermement le chant de ralliement, longtemps utilisé par les patriotes indépendantistes de l’UPC (Union des populations du Cameroun) : œuvre de René Djam Afane et de Samuel Minkyo Bamba.
Mais, là où par la suite le bât blessera, c’est bien cette correction apposée en 1971 à l’intégrité dudit texte des vénérables artistes. Sans du tout, hélas!, en extirper aussi l’extraversion persistante avec le mot «berceau», confort occidental, en première ligne même de ce premier couplet. (Tant il est vrai que les pauvres ancêtres n’eurent assurément droit, à leur naissance, à rien de mieux que le… bananier de l’arrière-cour).
Cela étant, en lisant attentivement le deuxième couplet de la proposition originelle précitée, l’on relève la profondeur, plutôt inattaquable, de ses paroles, futuristes; judicieusement choisies, panafricanistes, devant l’Eternel :
« Tu es la tombe où dorment nos pères/Le jardin que nos aïeux ont cultivé/Nous travaillons pour te rendre prospère/Un beau jour enfin nous serons arrivés/De l’Afrique, sois fidèle enfant/Et progresse toujours en paix/Espérant que tes jeunes enfants/T’aimeront sans bornes à jamais.
Une fois au pouvoir, l’opposition camerounaise entend diligenter l’harmonisation effective des deux (2) versions, française et anglaise, de l’Hymne national. En traduisant d’emblée, en Anglais authentique, le deuxième couplet sus cité, avant que d’officialiser les deux (2) interprétations, pour une version nouvelle, définitive, dudit Hymne. (Aucun miracle à performer) :
You’re the grave where do sleep our Forefathers/The garden they have been steadily planting/We work to contribute to your prosperity/One good day we shall win, and thus, take it all/Mother Africa, one of your best children/While progressing always in peace/Expecting that all of your offspring/Will keep on loving you, all-the-more.
Le passage, officiel et formel, à ce deuxième couplet, après sa traduction consensuelle précitée en la langue de Shakespeare, s’inscrit, à proprement parler, en droite ligne du bon exemple, en l’occurrence, le bon «pas» allègrement franchi en 1949 par l’Allemagne. Pays–ami au nôtre, ayant choisi de renoncer au premier couplet de son hymne. Les descendants de Bismarck, aussi connus chez-nous qui auront, à titre exclusif, solitairement défriché, dès signature du Traité germano – duala ce 12 juillet 1884, le présent Triangle national.
Un dernier mot sur le Drapeau. Le Cameroun d’«Unité-Progrès-Démocratie» ne connaît pas en date, faut-il en rire ou en pleurer, la différence qui existe entre un «Drapeau mis en berne» et un «Drapeau véritablement hissé».
A ce propos, la série des sept (7) questionnements ci-après mérite, à notre sens, d’être exactement comprise comme n’étant que la simple et humble invite à bien vouloir y réfléchir, le plus profondément possible :
     a. Qu’est ce qui pourrait en date expliquer l’exception des Minpostel et Minfi, en matière de pavoisement, alors même que rien ne flotte au sommet de tous les autres immeubles alentours du même bloc environnant : du «Rose» au Minfopra, en passant par le Minedub, le Minesec et le Ministériel N°2 (drapeaux en berne), y compris la… Primature (drapeaux en berne) ?
     b. Pourquoi notre Tricolore ne surplombe-t-il pas les multiples grues en action, de l’Immeuble en construction de la Caisse autonome d’amortissement (Caa) ?
     c. Quelle occasion ratée, en ce futur Immeuble Caa, de publicité efficace et approfondie, quotidienne et marquante, qui, en effet, «creuserait» les esprits en faveur et au grand profit des… grandes réalisations, en ces grues qui, le long des jours, accompagnent, de leurs mouvements rotatifs, la montée d’autant de murs préfabriqués, de cet Immeuble, Témoin si éloquent de la République en construction : Idéal tant souhaité ?
     d. Que dire, au sujet de la Camtel; de la Poste centrale; la Trésorerie centrale, ou de Aes-Sonel, toutes non pavoisées?
     e. Pourquoi n’y a-t-il pas de grand Drapeau flottant au-dessus de l’Immeuble N°1, en cours d’achèvement?
     f. Le Drapeau de la Sni ne doit-il pas cesser d’être placé en… berne confidentielle, en retrouvant sa juste place, la plus indiquée, au dessus de son… enseigne! En prenant simplement, et pour tout dévoiler, le bon et édifiant exemple de l’actuel… Palais de l’Unité – futur palais du Travail, dès que nous serons là?
     g. La «couleur rose» n’étant pas au Cameroun, couleur républicaine, des mesures appropriées ne devraient-elles pas, sans délai, promptement être prises, pour nous la faire disparaître, sans autre forme de procès, afin qu’elle cesse de faire dissonance, aussi profondément nuisible, en sa qualité actuelle de repère incontourné de «bâtiment» administratif : le seul connu, en date, sous sa couleur anecdotique sus décriée; lui qui, perfidement, casse sournoisement, aussi tranquillement, et même, tout à fait insidieusement les esprits, en illustrant graphiquement le grand pandémonium du… désordre gouvernemental, aussi regrettable que pénible? Avec pour grand bouquet, ses cinq (5) enseignes ministérielles, rédigées dans tous les sens?...
         « Ils n’ont pas de projet viable pour vous et pour notre pays.
         « Ils ne comprennent même pas les grands enjeux du monde d’aujourd’hui.
         « Ils passent du temps à vous dire que tout va mal au Cameroun.
         « Ils parlent beaucoup. Et comme d’habitude, ne proposent rien de concret.
         « Ils affirment qu’ils sont spécialistes de tout et de rien en même temps.
         « Ils vous promettent monts et merveilles. Et même des miracles!
Singulière «envolée» lyrique de Monsieur Nkuete, le Sg, dans son discours de campagne précité.
Les propositions sus résumées, Monsieur le Sg, ne les avez-vous pas reçues, assorties de trois (3) propositions de lois, par pli fermé signé du GMT (Groupe Man Tata) daté du 14 janvier 2013, dûment déchargé ce jour même en votre Secrétariat?
Mais alors, avez-vous du tout réagi, par simple courtoisie responsive, comme l’ont fait la CONAC ou le MINFOF?
Que fait donc votre Etat? Et quel gâchis réel, en matière de respect des couleurs, de l’Hymne et de la… Devise? Comment mieux vous aider? Vous qui ne savez même pas que vous n’avez qu’à généraliser, de façon triviale et aussi simple, le bon exemple de la brave… gendarmerie nationale, pour que «tout ce qui est Etat se confine enfin, à titre exclusif, aux trois (3) couleurs nationales : vert, rouge et jaune?».
Ne dites donc plus jamais, cher Sg, à partir de cet instant, que l’opposition n’a pas de programme! N’affirmez vraiment plus qu’elle ne comprend pas les enjeux du monde d’aujourd’hui. (Alors même que certains Leaders connus s’expriment remarquablement, renseignez-vous s’il vous plaît, plus que couramment en plusieurs langues internationales).
Tenez! Bien vouloir, de ce pas, consulter le site internet de certain acteur politique depuis 1991, contributeur éveillé à la rencontre tripartite de la même année : le parti des Fourmis (PDF). Maître des réseaux sociaux, en contact direct (et instantané), croyez-nous, avec Barack Obama, David Cameron, François Hollande, Bill Gates, Shimon Peres, Mikhaïl Gorbatchev et autres grands de ce monde…
En observant ce site, élaboré à mains nues et à bras étendus, vous remarquerez sûrement qu’il est, à l’heure actuelle, beaucoup plus consistant et respectable, achalandé et fourni que celui du… «palais de l’Unité-Progrès-Démocratie», dont les moyens colossaux crèvent plutôt les yeux!
Visitez-le, cher Sg, dégustez à votre convenance ses divers textes cumulés! Vous changerez, à coup sûr, d’opinion et surtout, de ce langage, froid et condescendant, nous en sommes persuadés!
Ayez surtout, s’il vous plaît, l’humilité de nous dire, en feedback, ce que vous en pensez. Tchao!.-

Daniel Boo, premier président du parti des Fourmis (PDF)           


  1. Ayant supplanté purement et simplement les deux Fêtes officielles de l’heure qu’étaient le «1er janvier (1960)» (Indépendance), et le «10 mai (1957)», création de l’Etat (Devise, Drapeau, Hymne et Nationalité).
  2. Qui, bientôt, deviendra «le palais du Travail», en conformité attendue avec «Paix-Travail-Patrie».




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